Le mot obligé du début
Les « éditions ditions » sont fondées sur trois paris :
Tout d’abord celui - au temps où nous butons dans le métro sur des gens hébétés qui jouent sur leur portable - qu’il y en ait qui lisent.
Ensuite, celui - lorsque dans les librairies, on voit tous ceux qui passent, qui feuillettent et qui partent sur la moue d’un jugement déjà bien entendu, qu’il y en ait qui achètent.
Et puis, peut-être au fond, une raison stupide : celle de trouver tapies, dans du papier, des phrases, nous ne savons pas, un texte, des mots, quelque chose, qui nous touche, qui nous porte et qu’on voudra transmettre.
En ce sens, les « éditions ditions » n’en auront pas trop (de sens) car c’est un grand pari.
Les fondateurs